SPEEDKRITIK 896 "Freebird" (2008) J. Ivay

Une comédie typiquement britannique faites avec des bouts de ficelles. On sourit grâce au trio d’acteurs excellent malgré quelques longueurs. Mais surtout un vrai grand moment de délire d’une vingtaine de minutes avec les héros sous champi (du même niveau que la fameuse scène dans la cuisine des "Tontons Flingueurs" de G. Lautner-1963). A voir rien que pour ça.

SPEEDKRITIK 895 "Our Girl" (2013) D. Drury

Les anglais sont trop forts pour filmer le quotidien. On sait que ce sont des acteurs, qu'il y a toute une équipe derrière la caméra; et pourtant on est complètement plongée dés les premières images dans la vie sans issue de cette jeune femme (Incroyable L. Turner). Dommage que ce soit filmé comme un téléfilm (en même s'en est un, une production BBC), mais j'attend toujours de prendre une telle claque avec un téléfilm français
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SPEEDKRITIK 894 « Dead Man Down » (2013) N. Arden Oplev

Un polar classique de bonne facture. La patte du réalisateur Danois y est pour quelque chose. Comme d’hab, T. Howard (mon chouchou) est parfait. Etant donné que le héros passe son temps à faire la gueule et a ne s’exprimer qu’avec des phrase courtes, C. Farrell est parfait dans le rôle. Par contre si je tenais le nase qui a fait croire au réal que « Eblouie par la nuit » de ZAZ était la rèf de la chanson française… Insuportable (et ils nous la mettent 2 fois).

SPEEDKRITIK 893 "New World" (2013) Hoon-Jung Park

Dés le premier plan c'est la grosse baffe dans ta face, et les coup pleuvent durant plus de 2 heures. Le film parfait (qui enterre le "Infernal affairs de Wai-Keung Lau-2002) qui vous laisse la bouche ouverte, en apnée. Les Coréens sont vraiment les maitres du polar noir. Spéciale dédicace à Jeong-min Hwang, toujours aussi fou. Si après ça ne vous débrouillez pas pas pour voir cette bombe absolue, c'est que vous n'avez rien compris à l'idée de Speedkritik.
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SPEEDKRITIK 892 "Earthquake" (1974) M. Robson

C’était la grande époque où Hollywood dépensait des fortunes avec un casting 5 étoiles et de gros trucages (et ces fameuses affichse avec la brochette d’acteurs en photomaton). Malheureusement cette pauvre histoire de tremblement de terre n’arrive pas à la cheville de « La Tour Infernale » (1974) J. Guillermin et « L’Aventure du Poseïdon » (1972) R. Neame. A part C. Heston (qui passe son temps à rentrer son ventre et gonfler sa poitrine) et A. Gardner (en fin de course); le reste du Casting est du second choix. Les effets sont cheaps (fonds bleus raté, maquettes mal foutues…) et le scénario pauvre. Pathétique

SPEEDKRITIK 891 "Grave Encounters 2" (2012) J. Poliquin

Le premier ne cassait pas des briques, mais quelques scènes faisaient flipper. Ce second opus est un foutage de gueule, le réalisateur n’a rien à dire si ce n’est de nous infliger son point de vue à 2 balles sur les films d’horreur. Avec en prime une résolution du mystère complètement à côté de la plaque. Un de pires « found footage » vu.